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Lecture spectacle au centre artisttik africa : Hermas Gbaguidi revisite la pièce ‘’Le chroniqueur du PR
L’écrivain scénographe et metteur en scène béninois, Hermas Gbaguidi, pour cette saison artistique, offre au public, une première lecture spectacle. C’est ce samedi 11 mars 2017 au centre culturel Artisttik Africa à Agla. Pour cette lecture spectacle, le promoteur du centre d’écriture,de scénographie et de mise en scène (Cesam) a travaillé avec deux comédiens de la capitale Porto Novo qui, pendant longtemps, ont été à cette école de formation qui a mis sur le marché culturel et artistique béninois plusieurs talents. A travers cette sortie, Hermas Gbaguidi annonce la rentrée de la promotion prochaine du Cesam et les activités de l’atelier mobile de théâtre ‘’Avèmian’’. Après une longue absence au pays à cause de sa tournée à travers l’Afrique pour la promotion de la danse sur Bambou, ‘’Dah’’ signal à nouveau sa présence à travers cette lecture spectacle. Le public est donc invité à ce rendez-vous qui est prévu pour 17h.
Culture Pidi Symph en concert live ! Les populations d’Akpro-Missérété vivront l’ébullition Publié dans Culture
Ce vendredi 10 Mars 2017, avec l'accompagnement de l'orchestre de la Capitale, l’artiste chanteur Symphorien Zanklan veut célébrer en différé "La Nuit des Amoureux". L’indétrônable de l'Ouémé, Pidi Symph entend donner un show inédit pour faire vibrer traditionnellement les disciples de cupidon, les amoureux. Ça se passe au Siège des arts et de la culture (Sac), sis à Akpro-Missrété, à 20 heures précises.
REMISE D'ATTESTATION DE FIN DE FORMATION
Vue d'ensemble sur la remise de d'attestation de fin de formation
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Francis Ducreux, promoteur du Tour cycliste international du Bénin : « Le Tour du Bénin 2017 se déroulera du 10 au 14 mai »
Les préparatifs du quatorzième tour cycliste international du Bénin évoluent. Le promoteur, le Français Francis Ducreux, était à Cotonou il y a quelques jours pour peaufiner les derniers réglages liés à la signature du contrat avec la Fédération béninoise de cyclisme (Fébécy). Le patron de SporPub International nous renseigne sur les préparatifs de cette compétition qui aura lieu, du 10 au 14 mai prochain.
La Nation : Quel est le niveau des préparatifs de l’édition 2017 du Tour cycliste international du Bénin ?
Francis Ducreux : L’édition 2017 du Tour cycliste international du Bénin, qui est bien entendu la quatorzième du genre, se déroulera du 10 au 14 mai prochain. Pour le niveau des préparatifs, tout se passe bien avec le comité d’organisation. J’ai profité de mon passage récemment à Cotonou pour échanger avec le président de la Fébécy, Rhétice Dagba, qui est en même temps, le directeur général du tour. Grâce à la Fédération, les demandes auprès des autorités ont été faites. J’ai d’ailleurs rencontré le ministre des Sports, Oswald Homéky, qui s’est montré très disponible à nous accompagner. Au niveau des mairies, les négociations ont évolué avec les maires concernés.
Quels sont les étapes retenues ?
Au niveau du comité d’organisation, nous n’avons pas voulu changer le parcours. Ainsi, le parcours est resté le même, celui de la treizième édition. Le tour sera lancé à Parakou. La 1ère étape sera courue entre Parakou et Savè sur une distance de 150 km. Pour la 2e étape, les cyclistes vont parcourir 80 km entre Dassa et Bohicon. Ils vont continuer sur Ouidah avec un parcours Bohicon-Ouidah long de 115 km. Enfin, les 4e et 5e étapes se feront à travers des critériums respectivement dans la ville de Porto-Novo et de Cotonou.
Combien de pays sont attendus ?
Les pays continuent de nous confirmer leur présence. Pour l’instant, nous avons : la Hollande, la Belgique, le Nigeria, le Togo, la Côte d’Ivoire, le Niger, le Burkina Faso, le Ghana, le Mali et bien entendu le Bénin. Nous espérons la présence du Burkinabè Mathias Sorgho, vainqueur des deux dernières éditions. L’année passée, il s’est imposé sur un total de cinquante-trois coureurs, au classement général sur une distance totale de 501 km avec un chrono de 12 h 49 min 58 secondes.
Quelle est la particularité de cette édition ?
Elles sont de deux ordres. D’abord, au niveau du nombre d’équipes participantes. Nous attendons pour cette quatorzième édition un plus grand nombre. La Fébécy a déjà envoyé les invitations et nous espérons que d’autres équipes vont s’annoncer. L’autre nouveauté, c’est le passage par la ville historique de Ouidah favorisé par la bonne qualité de la route. Il y aura cette ferveur populaire.
Un appel à lancer…
Les Africains ont du potentiel, mais le niveau du cyclisme africain progresse lentement, faute de moyens. Au Bénin, le niveau est faible par rapport à d’autres pays de la sous-région. Il faut simplement relancer le cyclisme béninois en créant des écoles de cyclisme pour sport étude. La Fédération béninoise de cyclisme a un directeur technique très compétent en la personne de Fernand Gandaho. Avec cet ancien champion, il faut s’appuyer sur des encadreurs qui connaissent parfaitement le cyclisme. Je voudrais inviter le ministère des Sports ainsi que le Comité national olympique et sportif du Bénin à gérer la situation.
Vente de faux médicaments dans le marché Dantokpa: Armand Gansè décline toute complicité de la Sogema
La Société de gestion des marchés (Sogema) n’est point complice du commerce illicite de produits pharmaceutiques, notamment à Adjégounlè au marché Dantokpa. C’est du moins ce qu’a affirmé le Directeur Général de cette société d’Etat, Armand Gansè, dans une intervention sur une chaîne de radio nde la place.
La Sogema a pour mission de louer les places, les emplacements, les hangars, a expliqué le DG Gansè. « Cette location se fait sur présentation de registre de commerce. Alors que sur les registres de commerce, il n’est écrit nulle part, vente de faux médicaments, vente de médicaments. Sur les registres de commerce, vous allez voir commerce général et divers. Donc, c’est dans divers, peut-être, qu’il y a tout », a fait remarquer. « C’est les vendeurs de faux médicaments qui, peut-être, ont mis la Sogema dans des problèmes », a-t-il ajouté.
Il a donc réaffirmé son engagement aux côtés du gouvernement pour éradiquer ce commerce illicite qui fait de nombreuses victimes. « La Sogema a l’obligation maintenant d’accompagner le gouvernement, de gérer ce problème avec le gouvernement pour que les vendeurs de faux médicaments ne se retrouvent plus dans les marchés qui sont sous sa tutelle », a-t-il dit. « (…) Désormais, si on rencontre des gens dans l’un de nos marchés en train de faire ce commerce, vente des faux médicaments, nous allons non seulement leur arracher les emplacements, mais également les présenter au procureur de la République », a conclu le Dg Gansè.
Claudel ZONDJI